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Politique

Gramsci et les greffes d’ovaires

Gramsci et les greffes d’ovaires

Qu’aurait pensé le philosophe Antonio Gramsci (1891-1937), cofondateur du Parti communiste italien (1921), de l’artificialisation et de la marchandisation de la reproduction humaine, telles qu’elles se développent aujourd’hui, en attendant de devenir la norme ? Que pensait-il de l’eugénisme/transhumanisme, déjà hégémonique de son temps, parmi les biologistes et les adeptes du « socialisme scientifique » (Trotski, Bogdanov & Cie) ? Il se trouve que le petit bossu à grosse tête a publié là-dessus, en 1918, un article que PMO remet en circulation.

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L’écoféminisme

L’écoféminisme

L’écoféminisme est une transmission. C’est l’œuvre des femmes qui étaient avant nous,c’est pour nous et c’est pour les femmes après nous. C’est une matrilinéarité magnifique. C’est quelque chose qui réside dans la chair, cela fait corps. C’est aussi un rapport avec tout ce qui n’est pas humain.

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Élections 2022 par « Lieux communs »

Élections 2022 par « Lieux communs »

Les élections françaises suivent depuis des décennies une trajectoire en spirale descendante : chaque scrutin accentue les traits les plus régressifs du précédent. Les non-campagnes électorales n’arrivent même plus à cacher la nullité des prétendants tandis que le délabrement omniprésent de la société est devenu un fait admis. Cachée par une apparente continuité institutionnelle, la crise de régime larvée révèle un chaos idéologique et social qui s’approfondit et nous fait entrer dans un univers de moins en moins familier.

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La revanche du rameur par Dominique Dupagne

La revanche du rameur par Dominique Dupagne

Le mal-être nous ronge et c’est l’organisation de la société humaine qui en est la cause. La médecine, pourtant dernier rempart contre la violence sociale et l’absurdité administrative, est l’exemple de cette aberration: elle peut nous sauver mais aussi broyer nos vies par ses excès.

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Le chaos (extrait) par Pier Paolo Pasolini

Le chaos (extrait) par Pier Paolo Pasolini

A l’été 1968, Pier Paolo Pasolini inaugure une rubrique dans l’hebdomadaire « Tempo » qu’il intitule « Le Chaos » : c’est l’année des contestations, des manifestations étudiantes, de la lutte pour les droits civils. Dans un pays qui est en train de changer rapidement, Pasolini intervient de manière fortement polémique sur les thèmes dominant du jour, et ce qui sont prétextes à des réflexions.
Voici un extrait du livre qui réunit ses articles. Il concerne une polémique par lettres avec trois jeunes lecteurs qui restent d’actualité en 2022.

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XIV/ Le travail ne se laisse pas redéfinir.

XIV/ Le travail ne se laisse pas redéfinir.

14ème chapitre du « Manifeste contre le travail ». En 1999, alors que déjà le mouvement alter-confusionniste néo-keynésien et son idéologie alter-capitaliste de défense des « services publics » déployait tout juste au lendemain du contre-sommet de Seattle, la léthargie croissante de son anticapitalisme tronqué contre le seul « capitalisme financier », la revue allemande « Krisis » fondée en 1986 par Robert Kurz, Norbert Trenkle, Ernst Lohoff, Roswitha Scholz et Peter Klein, décidait de synthétiser en un nouveau grand Manifeste ses réflexions théoriques en rupture avec l’ensemble des courants marxistes du XXe siècle et plus encore avec cette gauche néo-keynésienne, dans un livre à large diffusion : le fameux Manifeste contre le travail.
Palim Psao

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Pourquoi il faut supprimer les partis politiques par Simone Weil

Pourquoi il faut supprimer les partis politiques par Simone Weil

Simone Weil, philosophe française née en 1904, n’avait pas beaucoup de sympathie pour les partis politiques. Simon Weil va même plus loin que cela puisqu’elle était pour la suppression des partis politiques, position qu’elle a exprimée dans un petit texte intitulé « Note pour la suppression générale des partis politiques » paru en 1950 dont il est question dans cet article.

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L’importance actuelle de la Colonne de Fer dans la mémoire de la révolution espagnole par Miguel Amorós

L’importance actuelle de la Colonne de Fer dans la mémoire de la révolution espagnole par Miguel Amorós

La guerre civile espagnole n’était pas une simple confrontation entre la « démocratie » et le « fascisme », comme le prétendent souvent les historiens progressistes, dont l’imaginaire exclut la lutte des classes. C’est avant tout une révolution ratée qui s’est déroulée dans un contexte international marqué par une formidable crise économique et la montée des totalitarismes. Elle s’est déroulée sur deux fronts, et là se situe cette caractéristique que l’on veut à tout prix cacher ou déformer : à l’avant-garde, contre les fascistes et les rebelles militaires, et à l’arrière, contre la révolution prolétarienne. Le 19 juillet 1936, la classe ouvrière s’est vue obligée de descendre dans les rues de nombreuses villes et villages espagnols pour affronter le coup d’État militaire, quasiment à mains nues. L’État espagnol amorphe s’est effondré du jour au lendemain.

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Demain l’empire ? par David Engels

Demain l’empire ? par David Engels

Postscriptum du livre de David Engels « Le déclin. La crise de l’Union Européenne et la chute de la république romaine – quelques analogies historiques » [2013], l’Artilleur 2021.
La symétrie entre le passé romain du Ier siècle av. J.-C. et notre situation contemporaine semblant d’une rigueur accablante, comment pourrait-on supposer que la suite de l’histoire européenne sera fondamentalement différente du cours qu’a pris le monde romain après la crise de la République ? Et même si les parallèles entre le XXI’ siècle européen et la fin de la République romaine n’étaient que le résultat d’un hasard de l’histoire, une analyse des similarités possibles entre l’Union européenne du futur et l’histoire romaine post-républicaine n’est pas dénuée d’intérêt, ne serait-ce qu’en tant qu’exemple des facteurs qui ont poussé la République romaine à devenir l’Empire.

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Qui est Big Brother ? George Orwell et la critique de la modernité par Robert Kurz

Qui est Big Brother ? George Orwell et la critique de la modernité par Robert Kurz

Robert Kurz expliquait en 2003 dans Qui est Big Brother ? George Orwell et la critique de la modernité, que le totalitarisme décrit par George Orwell dans son livre 1984 sous la figure de « Big Brother » s’est réalisé dans le règne de l’économie de marché, sous la forme d’une intériorisation de la logique du capital qui exige de chaque être humain qu’il s’opprime lui-même. La « Novlangue » économique néo-libérale comme « le bêlement assourdissant des brebis démocratiques » camouflent ce « lugubre pouvoir anonyme de la machine sociale du capital devenu rapport mondial total » qui viole les ressources naturelles et humaines.

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XIII/ La simulation de la société de travail par le capitalisme de casino.

XIII/ La simulation de la société de travail par le capitalisme de casino.

13ème chapitre du « Manifeste contre le travail ». En 1999, alors que déjà le mouvement alter-confusionniste néo-keynésien et son idéologie alter-capitaliste de défense des « services publics » déployait tout juste au lendemain du contre-sommet de Seattle, la léthargie croissante de son anticapitalisme tronqué contre le seul « capitalisme financier », la revue allemande « Krisis » fondée en 1986 par Robert Kurz, Norbert Trenkle, Ernst Lohoff, Roswitha Scholz et Peter Klein, décidait de synthétiser en un nouveau grand Manifeste ses réflexions théoriques en rupture avec l’ensemble des courants marxistes du XXe siècle et plus encore avec cette gauche néo-keynésienne, dans un livre à large diffusion : le fameux Manifeste contre le travail.
Palim Psao

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L’IA et la restructuration du capital à l’échelle mondiale par Denis Collin

L’IA et la restructuration du capital à l’échelle mondiale par Denis Collin

Antonio A. Casilli produit avec ce livre une analyse remarquable des soubassements de l’économie de l’internet et des transformations en profondeur qu’elle fait subir au mode de production capitaliste. Au lieu de s’ébahir sur les miracles des machines ou de dénoncer les GAFAM, il montre les mécanismes qui permettent aux grands propriétaires des plateformes de centraliser la plus-value. Ce mécanisme est généralement masqué derrière « l’intelligence artificielle » qui n’est rien d’autre que le moyen de mettre les hommes au service des machines. La meilleure métaphore de cette intelligence artificielle, c’est le joueur d’échecs mécanique du baron von Kempelen (1769) un pseudo-automate représentant un ottoman jouant aux échecs, animé par un nain caché dans les mécanismes et qui dirige les mouvements de la marionnette grâce à un système de miroirs qui lui montre l’échiquier. Significativement, Amazon a baptisé son organisation de distribution de « digital labor » « Mechanical Turk », révélant ce qu’est la réalité du traitement massif de données (« big data ») par la soi-disant « intelligence artificielle ».

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XII/ La fin de la politique

XII/ La fin de la politique

12ème chapitre du « Manifeste contre le travail ». En 1999, alors que déjà le mouvement alter-confusionniste néo-keynésien et son idéologie alter-capitaliste de défense des « services publics » déployait tout juste au lendemain du contre-sommet de Seattle, la léthargie croissante de son anticapitalisme tronqué contre le seul « capitalisme financier », la revue allemande « Krisis » fondée en 1986 par Robert Kurz, Norbert Trenkle, Ernst Lohoff, Roswitha Scholz et Peter Klein, décidait de synthétiser en un nouveau grand Manifeste ses réflexions théoriques en rupture avec l’ensemble des courants marxistes du XXe siècle et plus encore avec cette gauche néo-keynésienne, dans un livre à large diffusion : le fameux Manifeste contre le travail.
Palim Psao

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XI/ La crise du travail.

XI/ La crise du travail.

11ème chapitre du « Manifeste contre le travail ». En 1999, alors que déjà le mouvement alter-confusionniste néo-keynésien et son idéologie alter-capitaliste de défense des « services publics » déployait tout juste au lendemain du contre-sommet de Seattle, la léthargie croissante de son anticapitalisme tronqué contre le seul « capitalisme financier », la revue allemande « Krisis » fondée en 1986 par Robert Kurz, Norbert Trenkle, Ernst Lohoff, Roswitha Scholz et Peter Klein, décidait de synthétiser en un nouveau grand Manifeste ses réflexions théoriques en rupture avec l’ensemble des courants marxistes du XXe siècle et plus encore avec cette gauche néo-keynésienne, dans un livre à large diffusion : le fameux Manifeste contre le travail.
Palim Psao

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Appel pour l’abolition de toute reproduction artificielle de l’humain

Appel pour l’abolition de toute reproduction artificielle de l’humain

Un crime contre l’humanité a lieu sous nos yeux.
Ce crime, né du cerveau des biologistes et commis avec les moyens de la médecine et de la génétique, se présente sous les dehors d’un bienfait et d’une émancipation pour l’humanité.
Ce crime, c’est l’eugénisme (d’abord nommé viriculture ou aristogénisme), la sélection scientifique de l’espèce humaine, ainsi re-nommé en 1883 par Galton, un cousin de Darwin, également co-inventeur de la biométrie avec Karl Pearson (1857-1936)…

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X/ Le mouvement ouvrier : un mouvement pour le travail.

X/ Le mouvement ouvrier : un mouvement pour le travail.

10ème chapitre du « Manifeste contre le travail ». En 1999, alors que déjà le mouvement alter-confusionniste néo-keynésien et son idéologie alter-capitaliste de défense des « services publics » déployait tout juste au lendemain du contre-sommet de Seattle, la léthargie croissante de son anticapitalisme tronqué contre le seul « capitalisme financier », la revue allemande « Krisis » fondée en 1986 par Robert Kurz, Norbert Trenkle, Ernst Lohoff, Roswitha Scholz et Peter Klein, décidait de synthétiser en un nouveau grand Manifeste ses réflexions théoriques en rupture avec l’ensemble des courants marxistes du XXe siècle et plus encore avec cette gauche néo-keynésienne, dans un livre à large diffusion : le fameux Manifeste contre le travail.
Palim Psao

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Souveraineté, république sociale et élections européennes

Souveraineté, république sociale et élections européennes

Jacques COTTA et Marc Lebas – C’est l’intérêt général et l’exigence démocratique qui font de la souveraineté une exigence non négociable.
Ce qui intéresse l’UE, institution rejetée par referendum en 2005, c’est la PARTICIPATION au vote, alors qu’il est notoire que ce parlement n’a ni légitimité, ni réel pouvoir. Alors, quelles seraient les raisons de voter ?

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IX/ L’histoire sanglante de l’instauration du travail.

IX/ L’histoire sanglante de l’instauration du travail.

9ème chapitre du « Manifeste contre le travail ». En 1999, alors que déjà le mouvement alter-confusionniste néo-keynésien et son idéologie alter-capitaliste de défense des « services publics » déployait tout juste au lendemain du contre-sommet de Seattle, la léthargie croissante de son anticapitalisme tronqué contre le seul « capitalisme financier », la revue allemande « Krisis » fondée en 1986 par Robert Kurz, Norbert Trenkle, Ernst Lohoff, Roswitha Scholz et Peter Klein, décidait de synthétiser en un nouveau grand Manifeste ses réflexions théoriques en rupture avec l’ensemble des courants marxistes du XXe siècle et plus encore avec cette gauche néo-keynésienne, dans un livre à large diffusion : le fameux Manifeste contre le travail.
Palim Psao

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VIII/ Le travail, activité des hommes asservis

VIII/ Le travail, activité des hommes asservis

8è chapitre du « Manifeste contre le travail ». En 1999, alors que déjà le mouvement alter-confusionniste néo-keynésien et son idéologie alter-capitaliste de défense des « services publics » déployait tout juste au lendemain du contre-sommet de Seattle, la léthargie croissante de son anticapitalisme tronqué contre le seul « capitalisme financier », la revue allemande « Krisis » fondée en 1986 par Robert Kurz, Norbert Trenkle, Ernst Lohoff, Roswitha Scholz et Peter Klein, décidait de synthétiser en un nouveau grand Manifeste ses réflexions théoriques en rupture avec l’ensemble des courants marxistes du XXe siècle et plus encore avec cette gauche néo-keynésienne, dans un livre à large diffusion : le fameux Manifeste contre le travail.
Palim Psao

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VII/ Le travail, domination patriarcale

VII/ Le travail, domination patriarcale

7ème chapitre du « Manifeste contre le travail ». En 1999, alors que déjà le mouvement alter-confusionniste néo-keynésien et son idéologie alter-capitaliste de défense des « services publics » déployait tout juste au lendemain du contre-sommet de Seattle, la léthargie croissante de son anticapitalisme tronqué contre le seul « capitalisme financier », la revue allemande « Krisis » fondée en 1986 par Robert Kurz, Norbert Trenkle, Ernst Lohoff, Roswitha Scholz et Peter Klein, décidait de synthétiser en un nouveau grand Manifeste ses réflexions théoriques en rupture avec l’ensemble des courants marxistes du XXe siècle et plus encore avec cette gauche néo-keynésienne, dans un livre à large diffusion : le fameux Manifeste contre le travail.
Palim Psao

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Un plan d’action après la gauche par Denis Collin

Un plan d’action après la gauche par Denis Collin

Il est souvent difficile de mesurer ce que le dernier demi-siècle a changé, en profondeur, dans la perception que nous pouvons avoir de ce qui compte et de ce qui compte moins en politique. Nous avons tendance à vivre avec les catégories du passé et avec les jugements du passé que nous projetons sur le présent. Dans Après la gauche, j’ai tenté de comprendre pourquoi la distinction droite-gauche qui avait eu sa pertinence s’est effondrée et pourquoi nous sommes maintenant devant un champ de ruines, à rechercher les morts sous les décombres. Tout cela aboutit au constat d’un abîme qui s’est creusé avec une bonne partie des « gens de gauche » et à mieux comprendre pourquoi une bonne partie du peuple est restée de « droite » bien qu’objectivement (du moins le pensions-nous) son intérêt était de soutenir « la gauche ».
Blog de Denis Collin

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VI/ Travail et capital : les deux faces de la même médaille

VI/ Travail et capital : les deux faces de la même médaille

6ème chapitre du « Manifeste contre le travail ». En 1999, alors que déjà le mouvement alter-confusionniste néo-keynésien et son idéologie alter-capitaliste de défense des « services publics » déployait tout juste au lendemain du contre-sommet de Seattle, la léthargie croissante de son anticapitalisme tronqué contre le seul « capitalisme financier », la revue allemande « Krisis » fondée en 1986 par Robert Kurz, Norbert Trenkle, Ernst Lohoff, Roswitha Scholz et Peter Klein, décidait de synthétiser en un nouveau grand Manifeste ses réflexions théoriques en rupture avec l’ensemble des courants marxistes du XXe siècle et plus encore avec cette gauche néo-keynésienne, dans un livre à large diffusion : le fameux Manifeste contre le travail.
Palim Psao

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V/ Le travail, principe social coercitif

V/ Le travail, principe social coercitif

5ème chapitre du « Manifeste contre le travail ». En 1999, alors que déjà le mouvement alter-confusionniste néo-keynésien et son idéologie alter-capitaliste de défense des « services publics » déployait tout juste au lendemain du contre-sommet de Seattle, la léthargie croissante de son anticapitalisme tronqué contre le seul « capitalisme financier », la revue allemande « Krisis » fondée en 1986 par Robert Kurz, Norbert Trenkle, Ernst Lohoff, Roswitha Scholz et Peter Klein, décidait de synthétiser en un nouveau grand Manifeste ses réflexions théoriques en rupture avec l’ensemble des courants marxistes du XXe siècle et plus encore avec cette gauche néo-keynésienne, dans un livre à large diffusion : le fameux Manifeste contre le travail.
Palim Psao

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IV/ Aggravation et démenti de la religion du travail.

IV/ Aggravation et démenti de la religion du travail.

4ème chapitre du « Manifeste contre le travail ». En 1999, alors que déjà le mouvement alter-confusionniste néo-keynésien et son idéologie alter-capitaliste de défense des « services publics » déployait tout juste au lendemain du contre-sommet de Seattle, la léthargie croissante de son anticapitalisme tronqué contre le seul « capitalisme financier », la revue allemande « Krisis » fondée en 1986 par Robert Kurz, Norbert Trenkle, Ernst Lohoff, Roswitha Scholz et Peter Klein, décidait de synthétiser en un nouveau grand Manifeste ses réflexions théoriques en rupture avec l’ensemble des courants marxistes du XXe siècle et plus encore avec cette gauche néo-keynésienne, dans un livre à large diffusion : le fameux Manifeste contre le travail.
Palim Psao

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