
Paul Ariès, directeur de l’Observatoire International de la Gratuité (OIG), animateur du Réseau international de défense de l’élevage paysan et des animaux de ferme, ancien rédacteur en chef des revues L’immondialisation, le Sarkophage, les Zindigné(e)s, docteur en science politique, DEA de sociologue, spécialiste de l’économie-gestion de l’alimentation et de la restauration, Prix littéraire de l’Académie nationale de cuisine, ancien membre du Centre de Politologie Historique (CNRS), de l’Association de recherche pour l’existence et la santé (Université Lyon II/Lyon III), du Groupe de recherches en épistémologie politique et juridique, du Groupe d’études sur les images fixes (GEIF), ancien formateur de l’ITFS (Institut du travailTravail Pour le courant de la critique de la valeur, Il ne faut surtout pas entendre le travail ici comme l'activité, valable à toute époque, d'interaction entre l'homme et la nature, comme l'activité en générale. Non, le travail est ici entendu comme l'activité spécifiquement capitaliste qui est automédiatisante, c'est à dire que le travail existe pour le travail et non plus pour un but extérieur comme la satisfaction d'un besoin par exemple. Dans le capitalisme le travail est à la fois concret et abstrait. Source: Lexique marxien progressif et de formation syndicale), ancien co-responsable du Conservatoire de la Mémoire Militante (C2M), archives déposées au Archives Départementales du Rhône et de la Métropole de Lyon, ancien collaborateur du Centre Contre les Manipulations Mentales (CCMM), de la Mission Interministérielle de lutte contre les sectes (MILS), auteur d’une quarantaine de livres, direction d’une dizaine d’ouvrages collectifs, a publié notamment dans Le Monde Diplomatique, l’Encyclopedia Universalis, Golias, Politis, L’Humanité, Le Monde, etc. Source: site officiel de Paul Ariès
Article publié: Liberté, égalité, gratuité
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